• Turquie

    Nous reprenons notre récit au moment où nous allions aborder la terre ottomane par la voie des mers. Une fois les formalités de sortie du Grèce accomplies au port de Chios, nous nous apprêtons à manœuvrer le camion dans le bateau qui lui était destiné.

    Pas facile… mais ça rentre !
     

     
    Le vent souffle fort. La mer est houleuse. Ce n’est pas sans appréhension que nous prenons nos quartiers à bord. Laurent, pensant à son camion, en suit l’arrimage ; Virginie serre ses filles, sujettes au mal de mer, contre elle. L’équipage est serein, cependant, jusqu’à l’intervention de la police maritime qui nous oblige à changer de bâtiment. Le camion est trop haut et son ballant risque de déséquilibrer le bateau. Curieux que ce ne soit pas le capitaine du bateau, ni l’armateur qui soient à l’origine d’une telle décision de sécurité à bord…
    Rebelote, nouvelle manœuvre, nouvelle suée pour le chauffeur, mais cette fois ci, nous ne montrerons pas les photos du ferry qui nous a conduit en Turquie. Beaucoup trop banal…  
    Nous arrivons en Turquie par le port de Cesme, non loin de la ville d’Izmir. Les formalités de douanes sont simples et en une heure, nous obtenons un permis de séjour de 6 mois. Cesme est une cité balnéaire en vogue. Nous abordons la Turquie par sa face la plus riche. On se renseigne à l’office du tourisme, on équipe nos téléphones portables d’un numéro turc et on décide de suivre la côte. Nous faisons une halte non loin de la ville, le long d’une plage, à proximité d’un spot de kite. Personne, à part deux voiles sur l’eau. Le camion s’approche au plus près de la mer. Un kiter nous fait des signes. Cool.
     

     
    C’est ainsi que nous faisons la connaissance de Tarkan, jeune rentier qui passe ses hivers ici et ses étés au Brésil, à la recherche des meilleurs spots. Il nous parle de sons pays. Ensemble nous parcourons la carte de la Turquie et choisissons le meilleur itinéraire. Il nous conseille de nous rendre dans un premier temps à Alaçati, un village de véliplanchistes, à 10 km de l’endroit où nous étions. Deux infos essentielles pour la suite du voyage : ici, on peut camper où l’on veut et le wifi est présent partout. Ça se présente pas mal ! 
    Une petite angoisse quand même quand nous voyons arriver ensuite deux camionnettes de la gendarmerie. Ses occupants (une dizaine) en sortent, la ceinture lourde et le béret vert vissé sur leur tête. On ne connait pas encore ce pays. Méfiance… Laurent s’avance pour engager la conversation.
    Morts de rire ! Ambiance détendue. Ils avaient aperçu le camion et voulaient le voir de plus près. Leur anglais est approximatif, autant que leurs sourires sont engageants. La pression retombe… jusqu’à ce que Virginie pousse la décontraction en proposant une photo de groupe devant le camion !!! Les grands derrière, les petits devant ! Celui que nous prenions pour le chef arrête de rire et annonce à tous qu’il est temps de se remettre au service. Ils ne mirent pas longtemps à prendre congé… Désolé pour la photo de groupe. C’était culotté, mais c’est raté…
    Alaçati est considéré par les véliplanchistes comme l’un des meilleurs spots du monde. La géographie du lieu est unique. Un vent fort et constant souffle tout au long de l’année sur une baie dont la mer reste d’huile, ce qui ravit à la fois les débutants et les expérimentés en recherche de performance.
    Nous y restons 3 jours, le temps de se détendre et de se préparer au mieux à ce nouveau pays.
     
     
    Nous reprenons la route qui nous conduit jusqu’à Ephèse.  La cité était connue dans l’Antiquité pour ses sanctuaires, dont le plus célèbre était le temple de la déesse Artémis, l’une des Sept Merveilles du monde antique. La cité fut également un des premiers centres du christianisme.
    Le site s’étend sur 3 kilomètres de long, ce qui fait que sont concentrés sur une même place un échantillon particulièrement représentatif des ruines encore visibles en Turquie. Nous avons cependant déploré une restauration trop rapide, dans laquelle le marbre ancien se mélange avec le béton armé.
     
     
     
    Une personne nous propose de nous conduire en voiture au sommet de la rue principale, pour que nous n’ayons plus qu’à nous soucier de la descendre, sans avoir à rebrousser chemin. Il nous donne quelques clés sur la région, nous recommande un camping à proximité et nous apprend que la fleur de coton est un porte bonheur en Turquie. Une jolie surprise nous attendait sur le camion à l’issue de la visite !
     
     
    Les voyageurs nous le confirment, le camping de Celçuc est l’un des seul campings de Turquie à offrir de l’eau chaude toute la journée et, luxe suprême, de la pression dans la douche ! Bivouac très sympa, les pieds dans l’eau. Les enfants en profitent pour se détendre. On en profite d’autant plus que l’on sait qu’en même temps que nous nous baignons, c’est l’automne qui s’installe en France ! On admire une petite grenouille verte aux doigts pourvus de ventouses qui escalade les vitres. Le voyage commence à devenir notre maison. On s’y sent bien, on prend le temps de vivre et de vivre bien.
     

     

     
    Un petit mot tout de même sur la santé de notre planète. Jusqu’ici et dans toutes les régions méditerranéennes que nous avons traversées, il nous a semblé que l’homme tire l’essentiel de ses ressources de la terre sous ses pieds et de ce que la nature proche peut lui offrir. Que ce soit dans les Balkans, en Grèce ou ici en Turquie, nous avons croisé une population majoritairement rurale qui parvient à subvenir elle-même à ses propres besoins. 
     

     
    Chaque maison individuelle est équipée de panneaux et de chauffe-eaux solaires. Les poules peuplent les jardins et l’âne est encore un moyen de transport utilisé couramment. Vocation écologique ou nécessité économique ?
    Cela ne nous a pas empêché de sourire en prenant la photo suivante : David contre Goliath.
     
     
    Nous poursuivons notre route vers l’Est pour atteindre le site de Pamukkale, non loin de la ville de Denizli. Ce sera notre grand coup de cœur pour la Turquie ! Ce « Château de Coton » est une curiosité naturelle unique au monde constituée d'un ensemble de cascades pétrifiées et de vasques en gradins que forme, depuis le sommet d'une falaise haute de près de 200 m, le ruissellement d’eaux thermales chargées de calcite. S’il ne faisait pas 30°, on aurait eu l’impression d’être sur une piste de ski ! 
     
     
    Le site est surplombé par les ruines de la cité hellénistique de Hiérapolis qui est courtisée depuis l’antiquité pour ses sources d’au chaudes aux vertus thérapeutiques.

     
     
     
    Et pour finir la journée en beauté, nous avons fêté l’anniversaire de Laurent. De mémoire de papa, jamais fête n’a été aussi grandiose, tant étaient nombreux les poèmes, dessins et autres collages ! Il faut dire que les enfants s’y préparaient (presque) en secret depuis plusieurs jours déjà.
     
     
    On the road again! Halte à Egirdir, au bord d’un lac qui, selon Virginie, était plus beau que le lac du Bourget, mais n’égalait pas pour autant  celui d’Annecy et, aux dires de Laurent, valait largement un lac en Haute Savoie, mais sans aucune comparaison possible avec la celui de Lamartine.
     
     
    La route se poursuit par la traversée de la grande ville de Konya, qui est la plus grande ville de Turquie par son étendue. Nous étions surpris d’avoir aussi froid (20° en Octobre, un scandale !), avant de réaliser que nous ne faisions que de grimper depuis plusieurs jours et que nous nous trouvons maintenant à plus de 1000m d’altitude. Elle a également constitué pour nous à l’un des premiers contacts avec l’Islam. Lorsque l’appel à la prière a retentit d’une première mosquée et aussitôt relayé par les nombreuses autres mosquées du centre ville, Charlotte était terrorisée ! La ville est célèbre pour ses Derviches Tourneurs, un ordre Soufi dont les membres entrent en transe par la danse, en tournant sur eux-mêmes, tels des toupies. Ci-dessous les photos du Mausolée de Mevlana.
     
     
    En bordure de la ville, nous avons trouvé un camping public et gratuit que la municipalité met à la disposition des voyageurs pour écarter les camping-cars de la ville. Eau et électricité fournies : autant pas se priver, d’autant que la météo commence à se montrer capricieuse…
    Alors que nous étions habitués, depuis nos premiers pas en Croatie à avoir la mer sur notre droite, la montagne à gauche et une route escarpée au milieu, celle que nous avons pris pour sortir de Konya, c’est ça… pendant 200 km !
     

     
    On pourrait multiplier les ‘copier-coller’ de cette photo pour vous montrer l’étendue de la pleine, mais vous allez trouver ça assez ennuyant !
    Charlotte : «On ne va pas à la mer ? Elle est fermée ? »
    Deux belles surprises néanmoins, les lacs de Mekke et d’Acigol. Le premier est un lac de cratère unique au monde qui s’est formé à la suite de deux explosions. On a marché sur la Lune !
     

     
     
    Et c’est ainsi que nous sommes petit à petit arrivés en Cappadoce, destination que Virginie attendait tout particulièrement. Nous avons plutôt envie de parler de Cappadoces, au pluriel, de deux régions totalement différentes l’une de l’autre par leur typologie géologique et naturelle.
    La première au Sud, autour de la ville de Nigde, est montagneuse, authentique et sauvage. Nous n’avons croisé aucun touriste, et nous avons pris un réel plaisir à sillonner ces routes, dont certaines n’étaient pas revêtues, à échanger des sourires avec des bergers, à vivre de choses simples, en vrai nomades. Nous avons bivouaqué en pleine montagne, à proximité d’une source. Première lessive à la main pour les filles, pendant que les garçons entretenaient le camion. Nous avions l’impression de vivre en adhésion totale avec notre environnement et que c’est dans de tels lieux que notre voyage en famille prenait tout son sens.
     
     
    Les photos suivantes montrent notre passage au monastère troglodyte de Gümüsler.
     
     
    La visite de la ville sous-terraine de Derinkuyu vient nous confirmer qu’ici on aime bien vivre dans un caillou, sans toutefois nous préparer à ce qui nous attendait dans la deuxième Cappadoce, celle du Nord. Mais patience !
    Une telle ville pouvait abriter jusqu’à 10'000 habitants en permanence (50'000 en temps de guerre) et était essentiellement destinée à protéger les habitants de ses ennemis. C’est comme un énorme gruyère creusé dans la roche. Il y a une douzaine de niveaux accessibles. Les hommes y vivaient avec leurs familles et leurs animaux. Ils y stockaient également leurs vivres. On y trouve même une église et la place du village ! Les familles les plus riches vivaient dans les niveaux inférieurs, car mieux protégées. Même si les portes étaient faites de grosses meules de pierre, ces cités de pierre pouvaient être vulnérables par leurs cheminées de ventilation à travers lesquelles les ennemis pouvaient empoisonner les occupants. On compte une trentaine de villes similaires en Cappadoce, certaines étant reliées entre elles.
     
     
    Cela n’a pas du tout plut à Laurent qui est sorti de là en courant, cassé en deux, en manque d’air. Effectivement, au regard de la taille des portes et des couloirs, les hommes de l’époque ne devaient pas mesurer plus d’un mètre !
     
    Une ribambelle d’enfants nous attendait à la sortie. Certains étaient curieux, d’autres, assez envahissants, nous réclamaient  de l’argent et des bonbons. Apparemment, de nombreux autres touristes sont passés avant nous dans cette région. Laurent sentait la pression monter devant leur hardiesse, Virginie seule se sentait dans son élément.
     
     
    La Cappadoce du Nord ! Nous y voilà ! 
    Les photos parlent pour elles-mêmes. Ci-dessous les images que nous avons prises lors d’une excursion dans la Vallée Pigeon, dominée par le village d’Ushisar, à 1300 mètres d’altitude. 
     
     
    Notre lieu de bivouac offrait un panorama unique sur le canyon et la boutique de souvenirs à proximité nous a offert l’eau et l’électricité. Il faisait très froid au réveil, mais le spectacle de cette multitude de montgolfières survolant en silence la vallée restera dans nos mémoires.
     
     
     
    Nous poursuivons notre découverte de la Cappadoce dans la vallée de Gorème où nous faisons connaissance d’une famille Suisse très sympa, partie pour un an en camping-car vers l’Asie. Vous pouvez suivre leurs aventures ici . 
     
     
     
       

    La nature en Turquie sait également se montrer très généreuse… !...


     
    Malheureusement, nous n’avons pas pu profiter davantage de la Cappadoce, la météo devenant franchement mauvaise avec une pluie incessante, dense et glacée qui nous gâchait la vue et nous enlevant tout le plaisir. Il faut dire que cette région de la Turquie est dans la trajectoire directe des vents en provenance de la Sibérie. Conseil de famille obligé. On vient de faire une lessive à la machine et les habits ne peuvent pas sécher. On reste, on attend, on fait l’école et on explore à fond ou on avance vers le sud ? On pose la question à Charlotte. Sa réponse est sans appel : « moi veut faire tour du monde ! » Nous avons renoncé à survoler le canyon en Montgolfière, car il fallait se lever à 5 heures, mettre des gants, écharpe… et avons décidé de tracer notre route. En trois jours, nous sommes montés jusqu’à 1800 mètres où nous avons vu de la neige, puis descendus jusqu’à la frontière de la Syrie. En quelques heures, nous avons connu à la fois l’hiver et l’été.
    En quittant la ville de Killis où nous avons bivouaqué dans un jardin public, nous tombons sur deux couples d’Allemands qui voyagent également, et depuis plusieurs années, vers l’Afrique. L’un d’entre eux avait un camion similaire au notre. On découvre l’échange de bons plans entre voyageurs. Ils nous donnent les coordonnées de l’unique camping près d’Alep en Syrie, ainsi que celles d’un garage en Jordanie, selon eux notre unique chance de préparer le camion à l’Afrique avant Nairobi.
    Les rencontres avec les autres voyageurs sont toujours l’occasion d’échanger des bons plans, des adresses, des idées d’aménagement… On s’y accroche lorsqu’on est loin de notre pays, de nos parents et de nos amis et qu’on a besoin de sortir du cadre strict de la vie de famille. Elles sont sources de frustrations également lorsqu’elles deviennent une joute pour savoir qui aura fait les meilleures rencontres ou les plus belles expériences. Nous nous sommes amusés, lors de la soirée passé avec le couple d’Anglais à Epidaure, que chacun, en observant l’autre se disait : « I want their live ! »
    Et on se rend compte que chaque voyage est unique et avant tout personnel. C’est pour ça que tous les voyageurs rencontrés sont avant tout libres et indépendants les uns des autres, avec des envies et des rythmes différents. Et ça, ils y tiennent ! Ce qui fait que les relations sont simples, personne ne se sent obligé vis-à-vis de l’autre. On n’accepte plus aucune contrainte, on ne fait plus de concession. On ne partage que le plaisir d’être ensemble et de partager un bout de notre route. Ces rencontres sont à chaque fois furtives mais intenses et les au-revoir déchirants.
    Le passage vers la Syrie fut complexe, mais nous avons réussi à obtenir nos visas sur place. Par contre, il faut prévoir, en plus du prix des visas et de l’assurance du camion, une taxe sur les véhicules diesels de 100 euros par semaine, payable à l’avance. Cela n’incite pas franchement les touristes à rester. Nous optons pour deux semaines.
     

     
    Le passage d’une nouvelle frontière est toujours porteur d’espoir. Nouveau pays, nouvelles résolutions. Ça sera forcement mieux qu’avant. C’est peut-être ça qui caractérise la vie de nomade, cette vie où chaque jour est neuf, comme la page blanche d’un cahier. C’est cette envie de changement qui nous pousse, chaque jour un peu plus loin. 
    Marine : « Et là ? On est toujours en Grèce ? »
    La Turquie nous laissé l’impression d’un pays immense, avec de grands espaces et des champs à perte de vue. Le potentiel de sa terre est énorme et souvent pas exploité, d’autant plus que le climat continental est encore favorable à l’agriculture. Et ça pour nous qui sommes sensibles à l’avenir de notre planète, c’est plutôt une bonne nouvelle !
    Bien que l’Islam soit la religion dominante, le pays nous a semblé très occidental. La transition entre l’Europe et l’Asie s’est passée sans même que nous nous en rendions compte. 
    Les turcs nous ont laissé l’impression d’être très travailleurs. Beaucoup de boutiques sont ouvertes jours et nuit, et partout où nous sommes passés, ça s’active, ça brasse. L’image qu’ils perçoivent de la France se résume à deux choses : Sarkozy et le foot. On ne peut s’empêcher de sourire à notre débâcle, lors de la dernière coupe du monde… Un conseil aux voyageurs : vérifiez la monnaie que l’on vous rend, il peut y avoir des surprises… 
    Nous regrettons cependant de n’avoir pas eu l’occasion de rencontrer des familles. 
    Nous avons pris nos marques dans le voyage et avons décidé, que puisque c’est si facile de voyager et que ce mode de vie nous deviens de plus en plus naturel, de commencer à nous faire plaisir. 
    Un bémol toutefois. Par mauvais temps, le camion est décidemment trop petit. Il est à la taille de Charlotte, la seule qui se sente vraiment à l’aise dans ce petit espace. Et quand le moral est en baisse, quand les enfants trouvent qu’il y a trop de choses à faire pour aider et qu’ils ont hâte d’être grand pour décider et ne plus avoir de soucis, Laurent répond : « notre souci à nous, c’est de faire en sorte que vous n’en ayez pas ». 
    That’s all folks ! On vous envoie un peu de notre soleil et toute notre amitié !
     
    A suivre...

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  • Commentaires

    1
    Jourdain's Five
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 15:42
    Merci merci pour ce magnifique récit et ces photos qui nous font voyager avec vous ! En effet Virginie, la nature turque sait se montrer généreuse ... ;o))
    Profitez-bien des °c, le froid (accru l'effet d'un petit vent) s'est installé en région parisienne ...
    Nous profitons aussi des manif', des dépôts de carburant fermés bloquant les Franciliens et autres utilisateurs de voitures, des grèves SNCF ... bref que du normal pour la France !
    Bzz
    Virginie² and Co
    2
    laura
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 17:27
    Je prends enfin le temps de vous suivre et je n'aurai qu'un mot ; Waouh !
    Votre aventure pousse à l'admiration, je vous souhaite que tout se passe bien avec une pensée particulière pour vos 3 enfants qui auront forcément une idée de la vie bien différente de la notre. Profitez bien et bonne chance.
    3
    Yann
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 17:29
    Ca fait plaisir de vous lire et de voir que chemin faisant vous prenez vos marques dans ce périple. Le coup de la monnaie .. c'est souvent ce qui arrive quand on débarque avec l'étiquette touriste dans beaucoup de pays.. Surtout que souvent on découvre la nouvelle monnaie.. et que l'on a du mal à jongler parfois avec les équivalences, et les taux de change.
    Bises à tous
    4
    La fran
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 21:54
    Vos récits sont toujours aussi captivants, j'ai l'impression d'être parmis vous en les lisant ! Superbes photos, continuez de nous faire rêver. A+
    5
    Olive (Turtle)
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 21:55
    merci pour ces récits et ces photos. Je pense bien à vous. Bonne route et continuez à nous faire rêver...
    Bises.
    Olive.
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    6
    Les 5nier
    Jeudi 28 Octobre 2010 à 04:06
    Genial, on a l'impression d'etre avec vous! Les photos sont splendides... C'est vrai que 10 m2, c'est un peu petit comme maison (taille d'un dressing americain), mais vous avez l'air de bien profiter de votre grand jardin!
    Bises et bonne route...
    SNAAC
    7
    les ANDREO's
    Lundi 1er Novembre 2010 à 22:58
    salut les plus beaux !!!!
    bon, ben, y a pas à dire, vous nous faites languir entre 2 messages, mais quand ils arrivent, ca fait bien plaisir.
    on est super contents de vous lire, de vous voir (enfin, ca un peu moins parce qu'on commence à trouver facheux votre joli petit hâle au moment ou on affiche tous ici un joli teint bidet...).
    ici, on passe le temps à découper les Jack'O Lantern pour patienter avant l'ouverture des pistes : les premières neiges sont arrivées la semaine dernière, on espère, on espère...
    bah, oui, alors, on a bien le droit de vous faire bisquer, nan ????
    Alors, bises amicales, mais fraiches du Lyonnais.
    et, comme d'hab', profitez, vivez, et prenez soin de vous.
    Alex et son boy's band
    8
    Bernard B90 4x4
    Mardi 2 Novembre 2010 à 20:38
    Magnifique voyage ! J'aime les camions et les familles qui les utilisent pour voyager (sa justifie l'existence de notre site et nos rassemblements )
    Amicalement, Bernard (qui prépare son voyage)
    9
    Les Barrat five
    Mardi 2 Novembre 2010 à 22:45
    Vous nous donneriez presque envie d'aller en Turquie ! Les photos capadociennes et leurs commentaires sont magnifiques.
    On veut la suite !! Bises
    10
    Les Pibout '
    Jeudi 4 Novembre 2010 à 14:05
    Merci les amis pour ces photos magnifiques !
    La Turquie du coup, c'est tentant .....:)
    Profitez et vivement la prochaine étape.
    On vous embrasse fort !
    11
    philippe/st
    Mardi 9 Novembre 2010 à 16:53
    Un bonjour de Bois le Roi à vous 5, comptant de voir que tout se passe pour le mieux,
    Thibault, Stéphanie, Philippe.
    12
    srevil
    Lundi 15 Novembre 2010 à 22:46
    Toujours génial de vous lire !!!! On pense à vous chaque jour !
    Profitez !
    Chez nous la foret après une semaine d'or et de jaunes orangés a perdu ses feuilles d'automne .On entre dans l'hiver et les gelées du matin !
    Les préparatifs de Noël se font sentir ...
    Grosses Bises à vous 5 et nous 5 !
    On pense à vous et on parle de vous TOUS les jours !!!!
    Sophie, Pascal et les filles
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