• Tanzanie

    C'est notre seconde entrée en terre de Tanzanie. Tanzanie, c'est la contraction de Tanganyika et de Zanzibar.  Ayant déjà une idée du lac Tanganyika au Burundi, nous choisissons les plages de l'Océan Indien qui nous ont manquées au Kenya. Sur cette terre immense, nous avions de nombreux kilomètres à parcourir avant de pouvoir rejoindre la côte.

    Les vélos ont désormais remplacé les ânes pour porter des charges lourdes. L`homme est de plus en plus livré à lui-même pour être toujours plus rapide. Les vélos sont renforcés car l'homme continue à s'imposer la même productivité que l’animal de bat. Les vélos deviennent un moyen de séduction, ils jouent aussi le rôle de taxis, transport en commun, bétaillère, camion…

    Notre première grande étape fut la ville d'Arusha, la deuxième ville économique située au Nord du pays. Elle possède la particularité d'héberger le tribunal chargé de juger les criminels de guerre du Rouanda. La route nous a pris plusieurs jours, avec des bivouacs variés allant du camping de luxe, à la pompe à essence, en passant par des villages dans lesquels, en voulant nous rapprocher de la population locale, nous nous sommes très rapidement fait envahir par une horde d'enfants. Virginie s'est rendue compte que, plus fort que sa volonté d'aller au-delà des différences et de pouvoir partager le quotidien des enfants locaux, elle n'avait plus alors qu'un seul souci : celui de protéger ses propres enfants de cette marée d'excitation. On cristallise des projets et des phantasmes sur l'Afrique, sur les rencontres et l'exotisme mais la réalité, associée à l'instinct maternel est toute autre…

    En une seule journée, nous avons avalé 350 kils (on dit kils et non pas kilomètres dans le langage des voyageurs au long cours) sous des trombes d'eau, dont 150 de piste dans lesquels Chamaco devait se frayer un passage au milieu de torrents de boue. 350 kils en un jour! Je vous vois sourire depuis la France… Laurent a dû adopter la technique de conduite sur neige pour passer là où les camions locaux se mettaient en travers et ne se sortaient des bordures qu'à grand coup de Caterpillar et de pelleteuses, tant cette même boue était visqueuse et glissante. Et ça passe pour Chamaco! Il faut dire que Laurent et son camion forment maintenant un binôme presque aussi indissoluble que Charlotte et Virginie. C'est là que nous avons commencé à filmer les routes pour les monter dans un film qui devrait être mis en ligne prochainement… uniquement pour le réalisme du témoignage, en espérant vous donner l’illusion d’être au volant d'un camion 4x4 au cœur de l'Afrique! Il est tard dans la nuit lorsque nous arrivons en ville, après avoir flirté de loin avec le Mont Méru. Ce n'est pas encore lui! Notre quête du moment : le Dieu K, le toit de l’Afrique!

    Nous avions les coordonnées d'un camping dans la ville d'Arusha. Tout ce que nous en savions, c'était qu'il était bruyant. Bryant? Un camping? Nous étions pourtant si loin des départs et des destinations estivales de nos contrées... C'est alors que nous avons appris qu'il existe un autre monde de voyageurs en Afrique, très différent de la petite communauté des overlanders que nous avions l'habitude de côtoyer. Cela commence par une ombre gigantesque dans la nuit. Un camion. Tout-terrain. Une caisse, deux fois plus grande que la nôtre, remplie de sièges, des soutes remplies de tentes! Nous découvrons qu'il existe des lignes de transport en commun régulières, des professionnels organisés en société, pour emmener des touristes chaque jour sur toutes les pistes d'Afrique de l'Est et du Sud. Une ligne relie Istanbul au Cape, en passant par tous les pays que nous avons traversés. Des aménagements conçus pour l'Afrique et éprouvés au grès d'une expérience sans cesse renouvelée. A leur bord, une jeunesse anglo-saxonne qui partage la même aventure que nous, à moindre prix et à un rythme hallucinant. Fête le soir, tous les soirs, lever à 5h, démontage de tentes qu'on entasse encore humides dans les soutes, départ à 6h. 10 heures de route. Montage des tentes, douche rapide, coucher à 9h pour les moins résistants. En règle générale, toute tentative de rapprochement avec ces zombies était vouée à l'échec, tant ils étaient fatigués par leur voyage. En revanche nous nous sommes imprégnés de l'expérience et des connaissances illimitées de leurs chauffeurs, toujours très sympas et très disponibles, avec qui nous annotions cartes et GPS. Ces camions et voyageurs, nous les appellerons les Dragoman, du nom de la première société rencontrée. Il y en a beaucoup d'autres.

    Nous sommes tombés de haut, nous qui pensions jusque-là, de tenter de mener à bien un projet ambitieux et exceptionnel…    

    A une vingtaine de kils d'Arusha, sur la route qui mène au Parc National du Ngorongoro, nous avons campé au Snake Parc, un site crée par un passionné au sein duquel il y avait : un camping, un garage PL, un musée Massai, un zoo de reptiles et un centre anti-venin! Nous n'avons pas cherché à entrer dans le parc, sachant que les prix pratiqués en Tanzanie sont prohibitifs et que notre véhicule ne pourrait pas entrer dans le cratère. Nous avions déjà eu la chance de faire le plein d'animaux Africains au Massai Mara et avions décidé de privilégier l'effet de surprise lors de nos prochaines rencontres avec la faune locale. Cette décision fut confortée par une voyageuse Canadienne à bord des fameux ``Dragoman`` : ``Les cinq premiers éléphants rencontrés en Afrique sont inoubliables, les 30 suivants, sont splendides, et si on est vraiment en manque après ça, on peut toujours les revoir à notre retour dans un de ces magnifiques parc animalier qu'on peut trouver près de chez nous!``.

    Au Snake Parc, nous nous sommes immergés dans le monde des reptiles. Nous avons été fascinés par le Mamba Noir, le serpent le plus dangereux du monde qui sévit dans la région. Le responsable du zoo nous apprend que sa morsure inocule une dose de venin suffisante pour tuer 18 personnes d'un coup. Elle est mortelle pour 95% des cas. Les locaux parlent d'une mort en 7 pas, la victime tombant en syncope au dernier des sept. Ils ont cependant recensé un cas de survie à la morsure de la bête : celle d’un enfant recueilli au sein du dispensaire qui ne doit son salut qu’à un garrot sur la cuisse. Au cours de 5 jours de coma, l'enfant a reçu 9 fois la dose prescrite pour une morsure de cobra chez l'adulte. Au bout de ces 5 jours, il a ouvert un œil, mais sa jambe était perdue. A la différence de tous les reptiles qui fuient le passage de l'homme, le Mamba Noir est le seul qui prend l'initiative du combat pour tout être qui ose pénétrer sur son territoire. Notre guide nous explique par ailleurs que les apprentis soigneurs du centre doivent assister un vétéran pendant 3 ans avant d'être autorisés à ouvrir la porte de la cage abritant le monstre. En outre, il faut davantage se méfier des jeunes serpents venimeux que des adultes. Ne sachant pas doser ni économiser leur venin, ils injectent la totalité de la dose lorsqu'ils mordent. Le Mamba Noir. Nous l'avons vu foudroyer et avaler 9 poussins en 20 minutes (désolé Alexandre!), mais rassurez-vous, c'est une autre espèce que nous vous montrons sur les photos qui suivent.

    L'Afrique et ses dangers… En fait ce n'est pas le Mamba Noir qui nous a fait peur (il n'établit son territoire que dans des régions reculées), pas plus que le lion, l'hippo, le croco, le palu, ou la bilharziose. Notre plus grande frayeur en Tanzanie, ça a été ca :

    Des croisements avec les 38 tonnes et autres bus chargés filant à la vitesse de 120 km/h sur des routes trop petites. Ils semblaient défier les autres véhicules, affichant ``In God we trust`` (en Dieu nous avions confiance), ou tout autre slogan religieux en fonction de leur croyance, ultime protection contre cette folie routière.

     Le garagiste de Bujumbura nous a appris que les routiers Tanzaniens dominent le secteur en Afrique de l'Est. L'achat de camion sert à blanchir l'argent de la corruption dans le remboursement d'emprunts bancaires. C'est la raison d'être de ces sociétés de transport, ce qui explique qu'ils peuvent pratiquer des prix ultra-compétitifs sur la route en employant des chauffeurs mal formés, payés à la vitesse de livraison, au risque de détruire les camions; l'activité de transport proprement dite n'étant plus soumise à une nécessité économique.

    C'est donc dans un rythme pépère que nous reprenons notre route vers Moshi. Bivouac nature au bord d'une rivière…

     

    Et puis un matin, les nuages se sont inclinés devant le seigneur de l'Afrique. Pas longtemps. Une courte demi-heure, le temps de prendre la photo. Corentin s'était, une fois n'est pas coutume, levé tôt pour l'occasion. Depuis le temps qu'il attendait ce moment! Il a été le premier à l'apercevoir du toit du camion. C'est lui… il est là! Le Kili. Le toit de l'Afrique… Nous sommes à Moshi, point de départ principal de toutes les ascensions qui débuteront… à l'issue de la saison des pluies!

    Sur les pentes du Kilimajaro, nous avons, toujours sous la pluie, fait une excursion en forêt vers les chutes de Marango. Notre guide du jour, enthousiaste et hilare, au petit soin auprès des enfants, nous a fait un saut de l'ange du haut des chutes, alors qu'il était en deuil. La veille, une crise de palu avait emporté son frère. Émouvant.

    Nous poursuivons notre route vers la ville de Tanga. Hormis notre excitations de renouer avec l'océan, la ville nous a déçu, ses côtes étant inaccessibles, uniquement occupées par la mangrove et les complexes de standing qui nous ont refusé l'accès, à nous, gens du voyage… Nous nous refugions dans un camping au bord d'une plage, un peu plus au sud, vers la ville de Pangani. Nous y étions mieux, nous y sommes restés une semaine!

    Les photos suivantes montrent, entre-autres une journée de pêche miraculeuse à bord d'une dow, pirogue à voile locale.

    A l'issue de la journée en mer, nous avons été invités à diner avec les pêcheurs du village : poulpes, poissons et… langoustes, le tout grillé, en toute simplicité musulmane! Pendant notre repas, nous étions entourés d'enfants qui nous accompagnaient en silence, coiffant les nôtres et tendant le jeu. Lorsque nous leur avons proposé de se joindre à nous, nous avons pris conscience qu'ils avaient faim.

    C'est là que nous avons fait la connaissance des Raübers, une famille Suisse qui a traversé toute l'Afrique de l'Ouest à bord de leur Iveco Magirus et avec leurs 3 enfants. Ils sont maintenant sur la route du retour. C'est une famille formidable, avec qui nous avons eu la chance et le plaisir de partager un bout de route, et nous vous invitons à suivre leur magnifique aventure sur leur blog .

    C'est donc avec les Raübers que nous poursuivons notre route vers Dar Es Salamm, avec un arrêt pipi à Bagamoyo. Conseil n˚36 : en saison des pluies, sur le bas-côté ne t'arrêteras, sinon boue tu mangeras et Suisse te sauvera…

    Comme son nom ne l'indique pas, Dar Es Salaam est bien en Afrique Noire. C'est d'ailleurs la capitale économique du pays, Domota étant la capitale politique. En fait, la terre de la Tanzanie est essentiellement chrétienne et les côtes sont musulmanes. Les deux religions pèsent le même poids démographique sur l'ensemble du pays.

    Non loin de la ville, à portée de ferry, il existe une petite plage fort sympathique appelée Mikadi. C'est là que notre petit groupe, accompagné d'un improbable camion hollandais, a pris ses quartiers d'été pluvieux.

     

    Il est pas beau notre bivouac? Et vous ne trouvez rien de bizarre sur cette photo? Nous vous donnerons une piste si vous ne trouvez pas, mais plus tard!

    Nous avons rencontré Paul et Maya dans un supermarché. Ils sont depuis deux ans sur les routes d'Afrique de l'Ouest et attendent leur embarquement pour l'Inde. Leur vieille camionnette Mercedes n'a plus de suspension depuis 7 mois, mais ça ne leur pose aucun problème. C'est avec tout ce petit monde que nous fêtons les 10 ans de Corentin.

     

     Nous faisons également la connaissance de Guillaume et Lana, couple de Franco-Tadjik qui parcourt l'Afrique en Land Cruiser, entre deux missions diplomatiques. C'est avec ces derniers que nous prenons le bateau pour Zanzibar, le projet largement influencé par le directeur du camping qui se fait une fierté de tout organiser. Pendant les deux heures qu'ont duré la traversée, nous avons eu le temps d'apprécier leur compagnie et d'approfondir l'amitié initialisée dans la piscine de la plage!

    Zanzibar est une ile, à la croisée du monde Arabe, de l'Afrique et de l'Inde. Elle a longtemps été une plaque tournante dans le trafic international des esclaves. On va laisser parler les photos, pendant qu'on ira soigner nos otites… Ces foutues oreilles nous ont empêchés d'apprécier pleinement les fonds, ainsi que de pouvoir nager au milieu des dauphins.

    Les portes sont de style Indou et les clous sont censés protéger les intérieurs du passage des éléphants. Et ça marche! Ayant parcouru le labyrinthe de la ville de Stonetown de long en large, nous n'avons pas vu un seul éléphant.

    Le singe est un Red Colombus Monkey, une espèce endémique sur l'ile.

     

    De retour à Mikadi, nous retrouvons les 7 à vivre, famille Belge, avec qui nous avions traversé le Lac Nasser. Nous poursuivons la route avec eux vers le Malawi, route qui traverse le parc national de Mikumi.

     

    Après avoir parcouru plus de 3000 km de cet immense pays, nous quittons la Tanzanie à Matema, au bord du Lac Malawi. La suite, ce sera une autre histoire, que nous ne manquerons pas de vous conter, si vous restez sages!

     

    La Tanzanie, c'est l'extrapolation de la nature. On évoque bien entendu les fameux ``Big 5`` qu’abritent les grands parcs nationaux et que nous avons vu lors de notre passage au Massai Mara. Au cours de notre traversée du pays, nous avons également été confrontés au Honey Badger (raton, sorte de blaireau local, hargneux, intrépide et roi de l'évasion), au Bushbaby (primate nocturne aux grands yeux rouges, qui se manifeste par des cris stridents le soir et que l'on observe à la lampe-torche), à l'espiègle Vervet Monkey qui s'en est pris à Charlotte dès que Laurent  a eu le dos tourné, mais aussi aux insectes, batraciens, scarabées, chenilles, scolopendres et autres mollusques dont les dimensions, les formes et les couleurs relèvent du surnaturel et de la monstruosité et qui déclenchent, à chacune de leur apparition, les cris de Virginie.

     
     

    La Tanzanie, c'est la célébration de la vie. Partout où nous passons, que ce soit en trombe dans un camion de 9t5 lancé à 70 km/h dans un nuage de poussières où que nous nous arrêtons, c'est l'émeute. Dans une même joie contagieuse, les personnes veulent nous toucher, nous parler, nous vendre ce qu’ils ont, les pieds plantés dans la terre et les bras levés vers le ciel. Nous devenons joyeux et rentrons volontairement avec eux dans la danse et dans la transe. Nous aimons passionnément cette Afrique, ce bouillonnement de vie et de survie sauvage, ce tourbillon euphorique qui nous emporte dans une chaleur moite et nous empêche de respirer, ces cris et ces rires transfigurés par des dents éclatantes. Nous sommes, au rythme des tambours Africains dans la sono du camion, enlevés dans un ``boro d'enjaillement`` (tonnerre de réjouissance, réminiscence d'un passage de Laurent en Afrique francophone que nous n'avons pas assez traversée au cours de ce voyage) qui nous laisse rarement seuls. Tous ont quelque chose à nous proposer ou à nous solliciter, ne nous laissant que quelques rares moments de répit. L'Afrique, c'est la communauté, la solidarité grégaire de ces hommes et de ses femmes unis dans la lutte pour survivre. Partout on joue, on palabre, on regarde, on se touche, on s'empoigne, on se bouscule… On en vient quelquefois à souhaiter l’indifférence. A croire, et je cite Guillaume, que l'intimité et la vie privée sont des luxes d'occidentaux.

     

    Voilà pour cette page. Nous avons pris connaissance des évènements du printemps arabe et de la mort de Ben Laden. Nous avons traversé quelques-uns de ces pays. Ayant reçu une éducation chrétienne, tout en ayant profondément aimé le Moyen-Orient, nous ne pouvons que souhaiter que ces deux mondes puissent, rapidement, se réconcilier.

    Un petit message tout particulier à la TR132. On vous trouve encore assez hésitants dans vos commentaires sur le blog. Lâchez-vous, vous êtes en deçà de la verve que l'on connait de vous, on a besoin de vous, vous nous manquez!

    Alors que vous vous préparez en France à la grande trêve estivale, l’automne austral commence à s'installer en Afrique. Le plus long été de notre vie commence à décliner. Les grandes forêts sèches se couvrent peu à peu de jaune et d'orange pour notre plus grand émerveillement.Nous avons dépassé les 10 mois de route. Charlotte a maintenant passé plus du quart de sa vie dans un camion et Chamaco a désormais fait plus de kilomètres avec nous qu'au cours de 30 ans au service des pompiers.


  • Commentaires

    1
    PERIC
    Samedi 21 Mai 2011 à 17:17
    Un seul mot me vient à l'esprit: "époustouflant".
    Bravo: un papier comme on les aime, égayé par des photos sublimes. Vous avez l'air tous en bon forme.
    Quelle chance de profiter de toutes ces rencontres (Belges, Suisses, etc... )
    Je vous embrasse tous. Péric
    2
    mima
    Samedi 21 Mai 2011 à 19:01
    bonsoir à tous,
    je n'ai pas arrêté d'avoir des frissons en vous lisant, en découvrant ce nouveau reportage et ces photos magnifiques !!! comment vous dire mon émotion (les larmes aux yeux) en découvrant le Kilimandjaro dans toute sa splendeur, l'église et la mosquée réunies et les fleurs de frangipanier qui clôturent cette lecture - ce n'est que du bonheur de lire vos aventures, les bobos et les frayeurs des uns et des autres........ c'est merveilleusement bien écrit - j'ai vraiment l'impression d'être à vos côtés............ je vous embrasse et, comme d'hab, que Dieu vous garde - mima
    3
    Geoffroy Daquin
    Samedi 21 Mai 2011 à 20:00
    Jumbo! Salut les Mallié ! Ca fait plaisir de revoir des photos du Kenya et de la Tanzanie: j'y ai habité 5 mois (Nairobi, Zanzibar, etc...) Fabuleux pays!
    Akounamatata!
    4
    markus
    Dimanche 22 Mai 2011 à 12:15
    Bonjour. Merci pour ces magnifiques photos. J'adore vos commentaires. Vous êtes tous et toutes en bonne santé et c'est le principal. Le kili hum magnifique.
    Bien, bonne route, bonne continuation.
    J'ai hâte de lire la suite, la suite, la suite...........
    Kisssssss aux enfants.
    5
    lou
    Dimanche 22 Mai 2011 à 12:22
    c'est toujours avec autant de plaisir que l'on découvre votre itinéraire!Les enfants ont l'air épanouis devant tant de découvertes! Quelle merveilleuse aventure et que de belles rencontres: en fin de compte,il y a quand même plus de famille que l'on pourrait croire qui tentent "l'aventure "de l'exploration du monde.
    Merci pour toutes ces belles photos.
    Bonne route et à bientôt.
    Louise
    6
    kobus 3659
    Dimanche 22 Mai 2011 à 16:48
    "FORMIDABLE" ce voyage, il faut aimer le risque, venins, pannes de camion, mauvaises rencontre.
    Mais que de choses et d'aventures merveilleuses vous vivez actuellement ! Les enfants sont-ils conscients de tout cela et ne sont-ils pas un peu perdus ? En tous cas, on en redemande ! ! ! Merci.
    Kobus.59200
    7
    Bernard B90 4x4
    Lundi 23 Mai 2011 à 18:10
    De plus en plus esprit " BMH" je suis fan de vos récits (je suis sur que virginie a trouvé une vocation d'écrivain ) et j'attends avec impatience la video de chamaco en bagarre sur la boue des pistes
    Amicalement, Bernard
    8
    Raphaelle dM
    Lundi 23 Mai 2011 à 18:31
    Bonjour à tous,
    Bravo de rester "si" lgtps en Afrique, tant de "Tour du monde" autour de nous qui ne passent pas par ce beau continent !!
    Bonne continuation, vos photos sont splendides !
    Raphaelle (soeur d'AS Hétier)
    9
    guydolo38
    Lundi 23 Mai 2011 à 19:29
    Bonjour à tous,
    Merci encore de nous faire partager vos exploits ( Marine à l'air plus rassuré avec les fleurs qu'avec la tortue ! , et Corentin n'est pas peu fière de sa pèche ) vous êtes superbes continuer votre périple et tenez nous au courant, vos photos sont superbes.
    Bisous aux enfants.
    10
    P
    Lundi 30 Mai 2011 à 22:17
    Merci pour votre commentaire. J'étais tellement contente que vous ayez lu mon article.
    Ici, après la fête des voisins, pour se rappeler de faire connaissance avec son voisin de palier, et la fête des mères, pour "prouver" l'amour qu'on porte à notre famille, je lis, amusée (et captivée comme toujours) vos récits si vrais, si profonds (j'espère que le projet de livre est déjà en cours), ces rencontres, cette entre-aide si naturelle. Et même si les enfants ne se rendent pas encore compte du merveilleux cadeau que vous leur offrez, votre choix est le seul qui permette de les ouvrir au monde. Soyez en sûrs! Je vous envoie toutes mes ondes positives pour les coups durs (il y en a) et pour tous les autres moments, je vous laisse les savourer en famille. Bonne route.
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    11
    ferrie
    Jeudi 21 Juillet 2011 à 22:44
    a zanzibar avez vous le plaisir de voir les clou de girofle sur le giroflier ???
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