• Syrie

    Voyager en Syrie et en Jordanie, c’est un peu comme ouvrir le livre des 1001 Nuits et se laisser endormir au pays d’Aladin et d’Ali Baba sous la voix de Shéhérazade dont les yeux sont surlignés de noir pour lui donner le regard intense et mystérieux des princesses d’Orient. C’est le pays dans lequel les lampes donnent naissance à des génies, dans lesquels les tapis volent pour vous emmener dans une terre d’aventure, sur les traces d’Henri de Monfreid et de Laurence d’Arabie, de Tintin et d’Indiana Jones où nous allons vous emmener. C’est le pays dans lequel les Grands Vizirs exercent leur pression sur le pouvoir et espèrent un jour devenir Calife à la place du Calife !

    C’est aussi le pays dans lequel les Arabes et les Bédouins font preuve d’un culte de l’esthétisme, d’une saveur de vivre et d’une hospitalité légendaire, en vous accueillant la main sur le cœur, le sourire aux lèvres, l’œil à la fois amusé et pétillant. Où que vous soyez, le sourire s’accompagne toujours de ‘ahlan wa sahlan’. Le ‘welcome’ fuse, automatiquement, spontanément, et a désormais remplacé le ‘hello’ du voyageur dans toutes les bouches.

    Installez-vous confortablement au fond de votre fauteuil. Laissez-vous imprégner par cet air chaud et sec, laissez-vous envahir par cette odeur de savon, d’épices, de coriandre et de jasmin.

    « Sésame, ouvre-toi ! »

    Entrons dans notre voyage au Moyen-Orient par la grande porte de la Citadelle d’Alep.


     

    Elle s’ouvre sur un monde d’effervescence. Le mégaphone du vendeur de fruits relaie celui du muezzin, vite couverts par les bruits de moteurs et des klaxons. De partout ça s’active. De partout fusent véhicules et camionnettes, tous améliorés artisanalement au goût local, certains datant d’un autre temps, une époque où notre camion n’était qu’à l’état d’une mine de fer. Les passants n’ont souvent pas d’autre choix que d’improviser rapidement un refuge au bord de ces artères et avenue tumultueuses. Les hommes retroussent leurs galabiehs au dessus de leurs sandales pour faciliter les enjambées de trottoir. Les femmes rehaussent un peu plus leurs voiles au plus prés de leurs yeux, pour mieux se protéger du regard des autres, au risque de voir elles-mêmes le monde au travers d’un écran.

    Charlotte : « les femmes elles ont plein de casques ! »

    Marine : « comment ils font les enfants pour reconnaitre leur maman ? »

    De partout on s’interpelle, on se congratule, on s’embrasse, on s’apostrophe. Si certains échanges n’étaient pas aussitôt suivis de sourires et d’accolages, on aurait pu croire qu’ils passent leur temps à se disputer, tellement le ton est haut et fort.


     

    Après avoir découvert la conduite au klaxon, seul moyen de s’approprier la priorité, nous bivouaquons sur un parking au pied de la citadelle. Moyennant la somme de 2 euros, le gardien du parking accepte de nous laisser passer la nuit. Il nous offre même de veiller sur le camion pendant notre visite. Nous le retrouvons fidèle au poste à notre retour dans la nuit, puis à notre réveil le lendemain. Cette porte domine le souk le plus remarquable du monde arable qui s’étend sur une dizaine de kilomètres, à l’ombre des arches de pierre, à l’abri d’une enceinte fortifiée.

    C’est ici que nous vous emmenons maintenant. Les commerçants nous invitent à entrer dans chaque échoppe que nous croisons : « juste pour le plaisir des yeux ». Prenons le temps de flâner devant les boutiques de bijoux dans lesquelles l’huile des lampes rehausse le ton de l’or. Cet or glisse entre nos doigts comme le font les graines chez le marchand d’épices.

    Nous nous enfonçons plus avant dans ces galeries de pierre de taille pour tenter d’en découvrir son aspect le plus mystérieux. Les quincaillers puis les poissonniers et enfin les bouchers ont remplacé les boutiques de touristes. Les voyageurs se font rares et des dinars passent de main en main. Nous découvrons ce que Corentin appelle le plaisir minuscule du petit pain chaud fourré au fromage tout juste sorti du four à pizza pour 7 centimes pièce. Nous en prendrons 20 que nous dévorons debout, à même le trottoir. Continuons à progresser ensemble pour découvrir l’âme et le côté le plus intime de cet endroit. Dans une petite pièce un homme est en train de filer un fil invisible. Une navette qui semble vide fait ses vas et viens entre les mailles d’un vieux métier jacquard en bois.


     

    C’est là que se prépare votre nouveau moyen de transport au Moyen Orient. Il est réglé pour avancer tout doucement, à la vitesse de Chamaco.

    <tapis>Je vous propose de décoller sans plus attendre davantage vers le levant, de survoler l’Euphrate jusqu’à la ville d’Ar Raqqah. Le paysage tranche avec tout ce que nous avons pu voir autour de la Méditerranée. Ici, le beige, couleur unique, a remplacé le bleu de la mer et le vert des forets. Notre camion semble se confondre avec le paysage, mais aussi les villes, dont il s’est approprié la couleur. Ici, on cultive la pierre. A cette saison, le jour commence à baisser rapidement. Nous repérons un village nommé At Thadyane, non loin de la ville de destination et choisissons de bivouaquer en centre ville. Ne connaissant pas encore le pays, nous imaginons que toute hostilité de la part des habitants pourra être ainsi surveillée, puis maitrisée. Laurent sort avec les filles pour acheter du pain. Des jeunes s’empressent autour du camion, curieux. Tous tentent de répondre à nos besoins, alors que nous-mêmes ne savons pas ce que nous cherchons vraiment, tant la sensation de dépaysement est absolue. Nous sommes un dromadaire égaré dans la forêt de Fontainebleau. Rien ne ressemble à une boulangerie. On cherche une personne qui connaît en arabe la traduction du mot ‘bread’. Après nous avoir offert le pain et gâté les filles de chocolat et de chips, et ce malgré nos protestation, Ibrahim nous informe que sa famille serait très honorée si nous acceptions de diner chez elle. Comment il peut dire ca ? Il ne leur a pas posé la question ! Ibrahim inspire la confiance. Nous acceptons l’expérience avec plaisir. </tapis>

    <tapis>Après les salutations (en silence !) d’usage, on nous invite à nous installer dans la salle des invités. Un soin tout particulier est apporté à la pièce. Elle est sobre et décorée avec soin. Le jaune et l’or dominent et les rideaux tombent en arabesques soignées à chacune des fenêtres. Hormis celà, le seul élément de décoration est un tableau avec des enluminures arabes dorées qui est soigneusement mis en valeur. Nous imaginons qu’il s’agit d’un extrait du Coran. Les seuls meubles sont des paillasses et des coussins qui font le tour de la pièce. Le sol est en moquette moelleuse. Le père de famille, moustache généreuse mais taillée et galabieh blanche s’installe en face de nous, pendant que les femmes préparent, puis nous offrent le thé. Il nous semble que toute la famille s’est apprêtée pour la circonstance ! Il nous fait comprendre qu’il parle mal l’anglais et nous sourit en silence. Nous sommes gênés, il ne l’est pas, attendant que nous prenions nos aises. Les filles ne se font pas prier et commencent à se rouler par terre, entamant une bataille de coussins. Les parents confus essaient de les maintenir sans pour autant oser élever la voix. Corentin reste sur sa réserve et observe. Les jeunes de la famille insistent à ce que nous soyons bien installés en multipliant les coussins, les installant sous nos reins et nos coudes. C’est alors que le défilé des visiteurs commence. Ce sont les membres la famille au sens élargie, tous voisins, qui viennent saluer le maître de maison et peut-être également voir ces visiteurs venus d’ailleurs avec leur étrange véhicule et leurs enfants aux cheveux blonds… Pendant le thé, les femmes ont installé le diner dans la cour de la maison.

    Là encore, on dine par terre, sur des paillasses. Ici encore pas de règle de bienséance. L’objectif est d’être le plus confortable possible. Ça rentre assez vite dans nos petites têtes ! Plusieurs assiettes trônent au centre de la natte qui fait office de table et chacun se sert des différents plats en arrachant des morceaux de pain sans levain qui font office de couverts.

     

    Une fois le repas terminé, on nous invite à revêtir une tenue un peu plus relaxe, et on nous explique que notre lit est fait et que par conséquent c’est là que nous allons passer la nuit ! Aucune protestation n’est envisageable. D’ailleurs c’est en galabieh que nous devrons nous coucher. Virginie profite de l’occasion pour offrir à la mère un collier pour la remercier. Elle ne l’a accepté qu’en se dépossédant elle-même d’un de ses propres bijoux !

    Laurent d’Arabie, ça sonne pas mal, non ?

    Nous dormons tous les 5 dans la salle de réception, sur des paillasses et nous nous rendons compte que c’est certainement la seule pièce à vivre de la maison et que nos hôtes dorment par conséquent dans des conditions beaucoup moins confortables que nous…

    Au petit matin, le père de famille invite Laurent à le rejoindre sur le toit de la maison, où le café est déjà préparé, pour regarder (toujours en silence !) le soleil se lever sur l’Euphrate. Il lui apprend qu’il est le directeur de l’école du village.

    Nous retrouvons ensuite Ibrahim et deux de ses cousins que nous avons rencontrés la veille. Ils nous proposent une partie de canot sur la rivière.

     

    Le départ approche. Nous leurs faisons comprendre, malgré leurs refus net de nous voir partir si vite, notre désir de poursuivre notre route. Le village est au bord du désert du Syrie à travers lequel circule la route qui doit nous mener jusqu’à Palmyre. Les adieux sont émouvants. Le père prend Laurent entre ses bras, la mère enlace Virginie et tous les cousins, voisins, amis… se sont joints à la famille pour nous voir partir. Tous, sauf Ibrahim et ses cousins, Hussein et Ali, qui souhaitent nous escorter encore quelques kilomètres !


     

    Nous allons ensemble jusqu’au Château de Al-Rasafa, où les garçons nous ont tous comblés d’attention, de gentillesse, et de tendresse.

    Les adieux furent là encore déchirants, mais nous échangeons nos téléphones portables. Nous avons quitté la France pour aller à la rencontre de l’autre et vous comprendrez peut-être à quel point cette rencontre là a été pour nous forte, intense et émouvante. Nous avions l’impression d’avoir fait sauter tous les verrous de la différence culturelle pour laisser la place à l’amitié.


     

    Palmyre est un oasis au milieu du désert de Syrie. Ses magnifiques ruines, la qualité classique de son architecture remontant à l’époque romaine (IIe siècle) formèrent un contraste saisissant avec le désert alentour. Les voyageurs viennent ici nombreux pour assister au coucher de soleil sur les colonnades, depuis la citadelle qui domine le site.

     

    Une fois sur place, nous avons diné dans un restaurant bédouin où Marine et Corentin ont retrouvé des enfants de leur âge avec lesquels ils se sont amusés comme des fous, en utilisant une forme de communication que seuls les enfants peuvent comprendre.  

     

    Au-delà du site, ce qui nous a retenus sur place, c’est ce camping de voyageurs au plein centre de la palmeraie. Je parle ici de voyageurs au long cours que le gérant du camping sélectionne scrupuleusement, pas de touristes ! De toute manière, le petit camping est entouré de murs et ne peut recevoir plus de quatre véhicules, le reste du terrain étant occupé par des dattiers et autres arbres exotiques, ainsi que de larges tentes bédouines propices à l’échange de vécu, bon plans et coordonnées géographiques entre aventuriers. C’est là que nous découvrons le gout de la grenade. Corentin : « ca va péteeeer !... »


     

    C’est là que nous faisons successivement connaissance de Bernard, personnage original venu de Hambourg en vélo et à bout de forces à Palmyre, de ce jeune couple venus également en vélo depuis Londres, de ces Néo-Zélandais également venus à vélo, après avoir traversé l’Amérique du Nord et du Sud, et enfin de ces deux familles suédoises qui voyagent en Land Rover jusqu’en Afrique du Sud avec, pour chacune, deux enfants à bord ! Vous retrouverez la plupart de leurs récits de voyage à la rubrique liens de notre blog. C’est ici également que Laurent reçoit un texto d’Ali et Hussein qui lui proposent de nous retrouver à Damas. Quelque soit le jour où nous projetons d’y être, ils seront là, à nous attendre !

    La route de Damas fut agréable, ponctuée par les blagues de Bernard, décidemment trop fatigué pour continuer à pédaler !


     

    Nous retrouvons effectivement sur place Hussein et Ali qui nous font découvrir la plus ancienne ville encore habitée au monde, et notamment La Grande Mosquée des Omeyyades. C’est l’une des plus grandes mosquées du monda arabe. Fait exceptionnel, la salle de prière contient un tombeau : celui de Jean-Baptiste (Sidi Yahya pour les musulmans), cousin de Jésus. La présence d'un tombeau dans la salle de prière d'une mosquée est un cas pratiquement unique. Les chrétiens du quartier Est de Damas viennent y faire des prières. On voit donc dans cette salle à la fois les prosternations des musulmans, et les signes de croix et les génuflexions des chrétiens.

    Ali et Hussein nous expliquent la conduite à tenir dans un tel lieu et nous font découvrir un peu mieux l’Islam et leur foi. Nous apprenons qu’ils sont sunnites.

    Ils ont prévu de nous faire passer la nuit chez un oncle dans la banlieue de la ville. L’accueil est tout aussi chaleureux qu’à Al Thadyane. Seulement Laurent étant parti visiter le quartier, refaire le monde et boire de la bière sans alcool avec les deux frères, nous nous sommes mis à table à minuit et couché à 2h. Malgré la fatigue et l’attente, leur absence est passée inaperçue, conformément aux règles de l’hospitalité ici. Mais peut-on encore parler de règle quand elle semble si spontanée ? On propose une fois de plus à Laurent de revêtir une galabieh. Laurent a refusé, ce qu’ils ont semblé comprendre, jusqu’à ce qu’on l’appelle 30’ plus tard, dans une pièce à part pour donner un coup de main. Le piège ! Les hommes l’attendaient, la longue robe pendue à un cintre. Impossible de s’y soustraire…


     

    Le lendemain, nous partons tous les 8 (un autre cousin s’est rajouté au groupe) en camion vers le village de Maalula, au Nord de Damas, le seul endroit du monde où l’on parle encore l’Araméen Occidental, la langue de Jésus.

     

    Inutile de vous expliquer à quel point il nous a été difficile de refuser de dormir cette nuit encore chez un autre oncle ! We’ll be in touch brothers !

    Nous bivouaquons dans le seul camping à proximité de Damas. Difficile à trouver cependant : les coordonnées GPS que nous avions étaient fausses et tous les panneaux étaient écrits en Arabe. Laurent, pour rigoler, montre un panneau et dit : « c’est là qu’il faut aller, c’est marqué ‘camping’ dessus ! ». Marine : « depuis quand tu sais lire le grec, toi ? ». Elle a deux pays de retard… Nous parvenons à le situer finalement et c’est là que nous retrouvons les voyageurs Suédois en Land Rover. Nous décidons de franchir ensemble la frontière de la Jordanie. Nous quittons ce pays avec ce sentiment qui nous est maintenant familier, ce mélange de tristesse et d’excitation propre aux voyageurs…

    Nous sommes restés deux semaines seulement en Syrie. C’est beaucoup trop peu pour un pays si riche. L’unique raison à cela est la taxe diesel de 100 euros par semaine qui n’incita pas les voyageurs à s’éterniser trop longtemps.. En revanche, nous prévoyons de prendre un visa d’un mois en Jordanie.

    Marine : « Et les Américains, quand ils sont arrivés en Normandie, ils ont dû aussi passer par tous ces bureaux ? »

    Votre voyage en tapis volant informatisé ne s’arrête pas là pour autant. Aujourd’hui, aux portes de l’Egypte, nous prenons la ferme résolution d’écrire moins, mais plus souvent… Au programme dans les jours qui viennent : Amman, la Mer Morte, Petra, le Wadi Rum et Aqaba. A très vite !

     

     

    </tapis>

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Commentaires

    1
    Tortuga
    Mercredi 17 Novembre 2010 à 22:38
    Salut les Chamaco! Nous venons de nous régaler a vous lire confortablement installés sous la couette! Merci pour ce voyage! ( on dirait que les grecs ont bien bossé sur la BT)... A très vite!
    Manu Marie Sacha & Salomé
    2
    Les ANDREO
    Mercredi 17 Novembre 2010 à 22:39
    Jydh Msā les petits amis,
    quel bonheur toujours de vous lire, et encore plus ce soir. le ton du voyageur a changé par rapport aux derniers posts.
    on s'aperçoit d'ici en tous cas que votre voyage prend maintenant une nouvelle ampleur : les yeux, le coeur ou je ne sais quoi s'est ouvert au voyage et à la découverte. ou bien est ce parce que petit à petit, vous nous semblez de plus en plus loin de nous.
    c'est un constat terrible pour nous autres pôvres voyageurs "classiques" car il nous apparait aujourd'hui c'est quelque chose qui ne nous sera jamais possible, quel que soit la destination, en y consacrant seulement quelques jours de nos vacances.
    à l'heure du passage de la retraite à 62 ans en France (ah, vous avez raté ca...), on se prend à espérer y être très vite pour profiter de tout notre temps pour aller nous fondre à notre tour dans d'autres contrées.
    en tous cas, votre message vient de nous faire voyager mieux que n'importe quel autre récit.

    alors, encore plus que lors de mes précédents commentaires, je recommencerai avec mes éternels : profitez, prenez soin de vous, et continuez à nous régaler.
    et là, je me rends compte que je n'ai même pas mis une phrase méchante, crotte de bique alors... ben oui, ca y est, on est mordus. et pourtant, nous sommes en NOVEMBRE, le meilleur de l'année donc : jours riquiquis, pluie, pluie, pluie, et vent qui souffle et fraichit....
    Allez, même pas mal, on commence à peindre nos luminions pour les fetes des lumières. on en fera un pour Chamaco cette année !!!! comme ca, si vous regardez e soir du 8 décembre prochain coté ouest, vous verrez surement le halo de votre luminion....
    Affectueuses bises des Andreo
    3
    Babeth
    Mercredi 17 Novembre 2010 à 22:47
    Quel récit envoûtant !
    Merci de nous faire profiter du voyage à travers vos yeux et ceux des enfants (leurs petites phrases sont toujours top !).
    Take care happy family :) !
    Biz
    Babeth Aloy
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      Commentaire :


    4
    carovdm
    Mercredi 17 Novembre 2010 à 22:47
    Salut les cousins,
    Quel beau récit. Je ne sais pas lequel des 2 écrit mais vous devriez écrire un livre !
    Sans bouger de mon ordinateur j'ai l'impresson d'y être !
    Vos photos sont superbes aussi.
    Comme disait Paul, vous allez revenir avec pleins de souvenirs dans la tête et quels souvenirs !!
    Je trouve e que vous faite vraiment incroyable !

    Vos enfants sont superbes sur les photos et Charlotte a vraiment changé !

    Continuez bien votre voyage de rêve, revenez effectivement pleins de souvenirs, et surtout continuez à nous faire partager ce fantastique voyage !

    nous vous embrassons bien fort
    Les Vandermarcq
    5
    C
    Mercredi 17 Novembre 2010 à 23:38
    Quel beau récit!! On en veut encore. Continuez à bien profiter. Nous vous souhaitons bonne route et encore de belles rencontres. Take care. Bises à tous les 5.
    Famille Toquin
    6
    domoto
    Jeudi 18 Novembre 2010 à 06:19
    Bonjour à tous,
    Merci encore de nous faire réver et découvrir toutes ces belles choses venues d'ailleurs mais qui devraient tand faire partie de notre quotidien, si morose parfois.
    Bonne continuation à vous. Vous offrez le plus beau cadeau de leur vie à vos enfants...
    Dominique
    7
    C
    Jeudi 18 Novembre 2010 à 08:41
    Merci de nous apporter tant de soleil dans notre quotidien bien gris en comparaison. Nous sommes contents de vous retrouver en si bonne forme et enrichis par vos rencontres et toutes les merveilles que vous visitez.
    Chez nous, tout le monde est en forme et espérons que nos chemins se croiseront d'ici les trois ans...
    A très bientôt, Cécile.
    8
    Magd
    Jeudi 18 Novembre 2010 à 10:53
    Fantastique ce "petit" reportage!!
    Un immense merci car c'est un réel plaisir que de vous lire et de suivre votre périple!
    Nous vous embrassons super fort,
    Magd, Yann, Quentin et (???? MicroCadou n°2 attendu pour le mois d'Avril)
    1001 baisers
    9
    kikitoto
    Jeudi 18 Novembre 2010 à 17:44
    Continuez comme cela ,nous voyageons gratuit!!Et chapeau aux documentalistes,et surtout ménagez la monture elle n'est pas au bout de ses peines!!
    Des bacots.
    10
    daddycool78
    Vendredi 19 Novembre 2010 à 13:26
    Bonjour!
    Merci pour toutes ces images qui nous font rêver. Continuer votre magnifique voyage....
    11
    familydufay
    Vendredi 19 Novembre 2010 à 14:09
    Un petit coucou les Chamaco!
    On est super contents de suivre vos aventures et de voir que vous semblez comblés par la beauté des lieux traversés et des personnes rencontrées. C'est génial! Profitez-en!
    Notre petite tribu va bien, on commence des cartons direction Villefranche-sur-saone et les enfants pensent déjà à leur liste de Noël...
    Que Dieu vous bénisse!
    Bises des 7 Dufay.
    12
    kl
    Vendredi 19 Novembre 2010 à 18:41
    Bonjour,
    Je consulte avec beaucoup de plaisir votre site, magnifiques photos et jolis commentaires.
    Une question à vous poser.... je suis campig-cariste, et je m'interroge sur la possibilité de faire une bonne partie de votre itinéraire avec un vehicule "camping-car normal", dons ma question jusque où puis-je aller.
    Merci et bonne route.

    "le voyage ajoute à la vie"
    13
    Markus
    Samedi 20 Novembre 2010 à 15:24
    Avec un plaisir, sans nul autre pareil, je viens de dévorer votre texte sur la Syrie. Merci pour les photographies.
    Ici, en France, les températures descendent.............
    J'attends la suite, de votre voyage, avec impatience.
    Bien le bonjour à vous ainsi qu'à votre famille.
    14
    Jeannette
    Lundi 22 Novembre 2010 à 15:59
    Continuez à nous instruire et nous faire rêver. Vos récits sont passionnants. Je me suis remmorais un voyage Syrie-Liban -Jordanie que nous avons fait une amie et moi, en...1965 ! avec les transports locaux. Tous mes voeux de bonne continuation vous accompagnent, et j'attends avec impatience votre prochain récit.
    Bravo pour votre entreprise (que je suis depuis le debut) et merci de nous en faire profiter. Avec toute mon amitié : Jeannette
    15
    Chamaco Profil de Chamaco
    Lundi 29 Novembre 2010 à 19:48
    Jusqu'en Egypte, vous pouvez sans problème venir avec votre camping car. On vous tiendra au courant pour la suite. Bonne préparation.
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